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Une question ?
04 98 03 73 45Huit millions de tonnes de plastique viennent polluer les océans chaque année. Ces déchets de tailles diverses s’accumulent et se mélangent. Entrainés dans les 5 principales gyres (courants marins circulaires), les déchets s’agglutinent et forment d’énormes plaques avec le temps.
Ces « continents » marins de plastique sont un fléau pour les espèces marines, et à terme, pour l’homme. Les poissons s’y empêtrent ou les ingèrent, causant leur mort.
Décomposées en fines particules néfastes pour la santé, les matières plastiques entrent dans la chaine alimentaire. Les petits poissons, qui avalent les micros particules, sont ensuite mangés par de plus grosses espèces qui finissent dans nos assiettes...
En 2050 il pourrait y avoir plus de plastique dans les océans que de poissons…
Ce projet a été mis en oeuvre par Boyan SLAT, scientifique Néerlandais, qui entend se servir des courants marins pour collecter les 5 billions de déchets plastique provenant de bouteilles, bidons ou de sacs qui flottent dans les océans. Des années de recherche sur son innovation l’ont notamment mené à effectuer la première observation aérienne de la plus grande plaque de déchets dans le Pacifique qui se situe entre Hawaï et la côte Californienne.
Une trentaine de barrières mesurant d’un à deux kilomètres de long seront mises à l’eau. Elles ne sont pas attachées aux fonds marins, mais à une ancre flottante de douze mètres de long qui évoluera dans l’eau avec les déchets en plastique au gré des courants.
Une barrière souple de plastique située sous le flotteur fait en sorte que les déchets soient emprisonnés alors que les poissons peuvent s’en extrairaient car il n’y a pas de maille comme sur un filet.
Il n’est pas antinomique de mettre sur le marché des sacs à déchets et de vouloir lutter contre la pollution liée aux plastiques, justement, nous y sommes sensibilisés et devons être en première ligne pour en minimiser l’impact.
Nous sommes tous responsables de la gestion de nos déchets. La filière du recyclage oeuvre pour collecter de plus en plus de déchets plastiques (évoqué dans le cadre de l’Economie Circulaire). Retrouvez tous les détails de cet engagement dans la documentation liée au lancement de notre nouvelle gamme.
Il n’y a pas à ce jour de palliatif aux sacs à déchets recyclés dans la mesure où le « BIODEGRADABLE » est fabriqué avec une part importante de produits issus de matières fossiles. Pour les productions vertueuses (peu nombreuses), la fragmentation en condition de compost se fera effectivement de telle manière que les résidus disparaitront.
Mais son coût prohibitif à ce jour en fait un produit qui n’a pas trouvé sa place sur le marché (sauf à être imposé comme en grande distribution). Sa faible résistance crée un frein pour les charges lourdes. L’analyse du cycle de vie du sac « BIODEGRADABLE » est très négative, nous tenons à votre disposition l’étude européenne réalisée par « l’IFEU » qui le pointe comme étant de loin un sac relativement néfaste sur le plan environnemental.
Cap Hygiène prend part à la plus grande opération de nettoyage des océans jamais réalisée : The Ocean Cleanup.
Convaincu par le bienfondé de ce projet sans précédent d’envergure internationale, KFB SOLIDAIRE s’engagent à apporter leur contribution au nettoyage des océans :
En un an nous aurons contribué à nettoyer l’équivalent de la superficie de plus de 50 terrains de football, rejoignez nous !